Cadre éthique et déontologique

Le cadre éthique et déontologique de ma pratique est soutenu par mon affiliation aux associations de Gestalt-thérapeutes (FPGT – Fédération des Professionnels de la Gestalt-thérapie (code éthique ici) et SBG – Société Belge de Gestalt)

Je également membre d’Alter-Psy, collectif qui regroupe des professionnels de la psychothérapie et de la relation d’aide en santé mentale qui partagent une vision commune de l’accompagnement des individus dans leur vie psychique et leur épanouissement personnel. C’est ainsi que, de par ma confiance dans la capacité d’émancipation de l’être humain, je m’inscris dans une perspective humaniste de la psychothérapie et de la santé mentale, comme un accompagnement de la personne humaine dans son cheminement de développement, de croissance et d’épanouissement personnel. Je considère que le travail psychothérapeutique s’inscrit dans le champ large des sciences humaines et ne peut se réduire à un traitement techno-médical standardisé qui tend à réduire la personne à une pathologie, et à l’aborder par le prisme exclusif de la normalité. La psychothérapie et la relation d’aide en santé mentale permettent de renouer avec l’humanité de chacun.

Je souscris à la charte d’Alter-Psy, qui s’inscrit dans la continuité de la déclaration de Strasbourg en tenant compte du contexte actuel. (Charte ici)

Les valeurs suivantes sont au cœur du travail :

  • Principe absolu de confidentialité : Le psychothérapeute et le professionnel de la relation d’aide en santé mentale s’engagent au respect du secret professionnel absolu, concernant tout ce qui leur est confié au cours de la thérapie ou dans le cadre de la relation professionnelle. Cette confidentialité est une condition indispensable à la relation thérapeutique.
  • Respect de la personne : La personne doit être respectée, dans sa singularité, tant dans son processus de croissance que dans ses convictions ou ses choix d’existence. Le thérapeute respecte la liberté et le rythme de chacun dans son processus d’exploration de soi.
  • Droit à la dignité : La personne a droit à la dignité et à l’intégrité de sa personne physique et mentale, sans discrimination d’aucune sorte.
  • Droit à l’information : La personne en psychothérapie a le droit de connaître les conditions de l’accompagnement, la (ou les) méthode(s) employée(s) par le psychothérapeute ou professionnel de la relation d’aide en santé mentale, ainsi que sa qualification.